Dans l’univers des véhicules anciens, certains collectionnent, d’autres restaurent… Maxime Dubois, lui, fait revivre l’histoire. À seulement 27 ans, ce jeune passionné s’est taillé une place singulière dans le monde des voitures et motos d’époque : il les met en scène, littéralement, en les louant pour le cinéma. Une vocation atypique, nourrie dès l’enfance par des visites de musées et une fascination profonde pour les années 1930 et la Seconde Guerre mondiale.
Faire parler les moteurs du passé
Spécialisé dans les véhicules français et allemands d’avant-guerre, Maxime ne se contente pas de les collectionner. Pour lui, ces machines sont des témoins de l’histoire, bien plus éloquents lorsqu’ils roulent que lorsqu’ils dorment dans un garage. « Vivre l’histoire, c’est mieux que d’en parler », explique-t-il dans une vidéo récente, où il partage son approche authentique et incarnée de la mémoire mécanique.
Un rôle clé au service du 7e art
Grâce à sa flotte impressionnante de voitures et de motos anciennes, Maxime travaille main dans la main avec les productions cinématographiques. Son objectif : fournir des véhicules fidèles à leur époque pour reconstituer avec exactitude l’ambiance des films historiques. Et pas question de tricher avec un modèle approximatif ! Chez Maxime, chaque véhicule raconte une histoire vraie, avec ses bosses, son vécu… et sa robustesse.
La fiabilité selon Citroën
Parmi les véhicules qu’il affectionne particulièrement, Citroën tient une place de choix. Il vante la fiabilité légendaire de la marque : « Même après une panne, elles arrivent toujours à destination. » Un clin d’œil à l’ingéniosité des ingénieurs d’époque, et peut-être aussi à la résilience d’un passionné qui ne recule devant aucune restauration.
La Kégresse, star en devenir
La vidéo se conclut avec un moment d’excitation partagée : l’essai d’une Citroën Kégresse, véhicule semi-chenillé emblématique, promesse d’une plongée directe dans l’histoire. Pour Maxime Dubois, chaque tournage est une opportunité de faire ressurgir le passé – moteur allumé.
Un passionné au service de la mémoire
Maxime incarne une génération de passionnés qui ne se contente pas de conserver : il transmet. Par son travail, il réinsuffle de la vie aux objets du passé, les remet sur la route et sous les projecteurs. Un portrait inspirant pour tous ceux qui croient que l’histoire peut (et doit) se vivre en mouvement.
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